Une aversion au risque en baisse sur les marchés
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L'aversion au risque rapproche la notion de risque et de performance sur les marchés financiers. Plus un investisseur à une faible aversion au risque, plus il est apte à prendre des risques pour maximiser la performance de son portefeuille. A l'inverse, un investisseur avec une forte aversion au risque cherche avant tout à réduire son risque au maximum ce qui limite la performance de son portefeuille. Chaque individu à une aversion au risque qui lui est propre.
On constate de génération en génération que l'aversion au risque est en diminution. Si on y pense bien, chaque génération franchit une étape. Les grands parents investissaient des les obligations, les parents dans les actions française et l'assurance vie, et maintenant on à est l'heure du trading et des OPCVM (Sicav, FCP) avec un investissement dans toutes les zones géographiques. Même une assurance vie classique propose à ses clients de dynamiser un peu la rentabilité de leur compte en investissant une partie de leur capital dans un fonds actions. Je caricature un peu la société en disant tout cela mais c'est belle et bien une tendance générale.
A l'époque, si vous naissiez pauvre, il y avait de grande chance pour que vous le restiez toute votre vie. Le statut social de vos parents déterminait votre niveau de vie pour toute votre existence ! Je ne vais pas dire qu'aujourd'hui ce n'est plus le cas, mais toute personne à la possibilité de part les études de monter dans l'échelle sociale. Difficile oui mais possible ! Sur les marchés financiers, on retrouve le même cas de figure. Avant, vos grands parents ou même parents n'espéraient pas faire fortune sur la bourse, ils savaient ce qu'un investissement pouvait rapporter et il n'en espérait pas plus.
Aujourd'hui, les choses ont changé. On ne se dit plus que c'est impossible de faire fortune ou sans aller jusque la, de rendre sa vie plus confortable avec l'argent généré sur les marchés financiers. Ca en devient une obsession chez certaines personnes, et ceux qui n'étaient que des marginaux à l'époque, sont aujourd'hui dans la norme. Il n'y a pas qu'à voir la fréquentation des sites sur les marchés financiers, des salons…. Tout le monde veut se former au trading dans l'espoir de gagner de l'argent. Le rêve du vivre du trading bat son plein…. Les investisseurs recherchent le coup du siècle en bourse…
Pour y arriver, les gens sont prêts à prendre de plus en plus de risque. Le problème c'est qu'il faut savoir gérer son risque pour ne pas tout perdre (ce qui est malheureusement souvent le cas). Vous allez me dire que tout le monde ne fait pas du trading… C'est vrai mais on retrouve une baisse de l'aversion du risque même chez ceux qui habituellement sont les plus frileux. Il n'y a qu'à voir la croissance phénoménale des OPCVM…. Tout le monde y souscrit. La plupart des gens choisissent de dynamiser un minimum leur portefeuille et espère générer un peu plus de performance. Bien souvent, ils savent que ce n'est pas sans un risque supplémentaire. Chez ces personnes, l'aversion au risque tend à diminuer mais ils préfèrent transférer le risque supplémentaire à un tiers (les gérants de l'OPCVM). Ainsi, beaucoup de père de famille vont se retrouver indirectement avec des actions étrangères, voir de pays émergents
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Mais ce changement de mentalité ne s'est pas fait tout seul…
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On constate de génération en génération que l'aversion au risque est en diminution. Si on y pense bien, chaque génération franchit une étape. Les grands parents investissaient des les obligations, les parents dans les actions française et l'assurance vie, et maintenant on à est l'heure du trading et des OPCVM (Sicav, FCP) avec un investissement dans toutes les zones géographiques. Même une assurance vie classique propose à ses clients de dynamiser un peu la rentabilité de leur compte en investissant une partie de leur capital dans un fonds actions. Je caricature un peu la société en disant tout cela mais c'est belle et bien une tendance générale.
Un changement de mentalité sur les marchés financiers?
A l'époque, si vous naissiez pauvre, il y avait de grande chance pour que vous le restiez toute votre vie. Le statut social de vos parents déterminait votre niveau de vie pour toute votre existence ! Je ne vais pas dire qu'aujourd'hui ce n'est plus le cas, mais toute personne à la possibilité de part les études de monter dans l'échelle sociale. Difficile oui mais possible ! Sur les marchés financiers, on retrouve le même cas de figure. Avant, vos grands parents ou même parents n'espéraient pas faire fortune sur la bourse, ils savaient ce qu'un investissement pouvait rapporter et il n'en espérait pas plus.
Aujourd'hui, les choses ont changé. On ne se dit plus que c'est impossible de faire fortune ou sans aller jusque la, de rendre sa vie plus confortable avec l'argent généré sur les marchés financiers. Ca en devient une obsession chez certaines personnes, et ceux qui n'étaient que des marginaux à l'époque, sont aujourd'hui dans la norme. Il n'y a pas qu'à voir la fréquentation des sites sur les marchés financiers, des salons…. Tout le monde veut se former au trading dans l'espoir de gagner de l'argent. Le rêve du vivre du trading bat son plein…. Les investisseurs recherchent le coup du siècle en bourse…
Pour y arriver, les gens sont prêts à prendre de plus en plus de risque. Le problème c'est qu'il faut savoir gérer son risque pour ne pas tout perdre (ce qui est malheureusement souvent le cas). Vous allez me dire que tout le monde ne fait pas du trading… C'est vrai mais on retrouve une baisse de l'aversion du risque même chez ceux qui habituellement sont les plus frileux. Il n'y a qu'à voir la croissance phénoménale des OPCVM…. Tout le monde y souscrit. La plupart des gens choisissent de dynamiser un minimum leur portefeuille et espère générer un peu plus de performance. Bien souvent, ils savent que ce n'est pas sans un risque supplémentaire. Chez ces personnes, l'aversion au risque tend à diminuer mais ils préfèrent transférer le risque supplémentaire à un tiers (les gérants de l'OPCVM). Ainsi, beaucoup de père de famille vont se retrouver indirectement avec des actions étrangères, voir de pays émergents
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Mais ce changement de mentalité ne s'est pas fait tout seul…
Facteurs de diminution de l'aversion au risque
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Innovation technologique
: Avec le développement des plateformes de trading, tous les marchés sont aujourd'hui accessibles d'un simple clic. Investir n'a jamais été aussi simple, il suffit de cliquer sur un bouton quand nos parents devaient eux appeler leur banque pour passer un ordre. De plus l'ordre est exécuté instantanément. Cela crée un sentiment de liberté, on peut investir sur tout ce que l'on veut partout dans le monde. Devant toutes ces opportunités, l'investisseur à l'impression qu'il est plus facile qu'avant de gagner de l'argent. Cette envie prend le pas sur son aversion au risque et tend à la diminuer.-
Création de nouveaux produits
: Les produits d'aujourd'hui sont conçus pour faciliter le trading pour les particuliers tout en mettant à leur disposition un fort effet de levier. On peut prendre l'exemple des CFD sur actions. Avec les CFD. Le nombre d'actions disponible est aujourd'hui croissant (actions françaises, étrangères…). Ces produits permettent d'acheter mais aussi de vendre sans contrainte (ce qui n'est pas le cas avec les actions au comptant sur le SRD pour la génération précédente). Ce sont également des produits à fort effet de levier et c'est ce qui attire les investisseurs qui pensent pouvoir gagner beaucoup d'argent. C'est bien évidemment illusoire sans une bonne formation et une gestion du risque stricte ! La simplicité de ces produits donne l'impression que le trading est facile et cela tend à diminuer l'aversion au risque.-
Accès à de nouveaux marchés
: Les opportunités d'investissement sont aujourd'hui démultipliées avec l'ouverture de nouveaux marchés aux particuliers tels que le Forex. De nouveaux investisseurs sont attirés et la encore on retrouve à disposition du trader un fort effet de levier…. L'appât du gain est trop fort chez de nombreux investisseurs et ils en oublient tout le reste ! C'est ce qui conduit à perdre leur capital….-
